« En l’amitié de quoi je parle [les âmes]
se mêlent et se confondent l’une en l’autre d’un mélange si universel qu’elles
effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de
dire pourquoi je l’aimas, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant :
parce que c’était lui, parce que c’était moi.»
Montaigne, (« lourd de deuil de La Boétie »),
Les Essais, livre I, chap.XXVIII,
apud Paul Ricoeur, Parcours de la
reconnaissance, 2004, p.377.
Vezi şi Despre dragoste ca prietenie
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